Matthew Quick- Pardonne moi, Leonard Peacock

Resumé éditeur: 

«En plus du P-38, le flingue de mon grand-père, il y a quatre paquets, un pour chacun de mes amis. Je veux leur dire au revoir correctement. Je veux qu’ils gardent un souvenir de moi. Qu’ils sachent que je suis désolé d’avoir dû leur fausser compagnie. Qu’ils ne sont pas responsables de ce qui va se passer… » Aujourd’hui, Leonard Peacock a dix-huit ans. C’est le jour qu’il a choisi pour tuer son ancien meilleur ami. Ensuite, il se suicidera. Plus tard, peut-être, il se dira que c’est OK, voire important, d’être différent. Mais pas aujourd’hui.

Ce que j’en pense: 

Je vais en fâcher plus d’un mais pour moi c’est l’attrape cœurs de JD Salinger en réussi! C’est un petit chef d’oeuvre. J’ai dévoré ce livre…

Léonard ne voit pas ce qu’il veut voir, il voit la stricte réalité des choses de la vie, la réalité est triste évidemment, comme ce livre. Mais quand on se rend compte à quel point il a raison c’est glaçant.

Léonard n’a pas foi en l’avenir, il veut en finir avec la vie, mais avant ça il a un tas de choses à faire. La morale est difficile à prouver car je pense qu’elle est différente selon le lecteur, mais je pense qu’il ne faut pas comparer ses problèmes, car selon comment on a été construit, fort ou moins fort, les problèmes n’ont pas même impact sur une personne. Mais trêve de morales, chacun fera la sienne. Mais une chose est sûr, pour ceux qui ont compris l’oeuvre et tout son sens, à la fin on est tous fascinés par Leonard Peacock.

Bonne lecture!

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